L’achat en Valais n’est plus réservé qu’aux locaux

Il fut un temps où le marché immobilier valaisan était essentiellement l’affaire des habitants du cru. Aujourd’hui, le visage des acheteurs a changé. Chez MBA Immobilier SA, actif sur le marché résidentiel valaisan, nous constatons chaque jour que l’achat de biens dans notre canton attire désormais bien au-delà de nos frontières locales. Pourquoi cet engouement nouveau pour le Valais ? Dans cet article, nous tentons de vous expliquer pourquoi l’achat en Valais n’est plus réservé aux seuls locaux. Nous aborderons ensemble l’évolution du marché, le profil des nouveaux acheteurs et les raisons de ce changement, sans oublier un focus sur la plaine valaisanne et les opportunités qui en découlent.

Contexte du marché valaisan

Le marché immobilier valaisan connaît une dynamique exceptionnelle ces dernières années. La demande de logements en propriété est robuste et entraîne une forte progression des prix. Entre le 4e trimestre 2023 et le 4e trimestre 2024, les prix des villas et des appartements en Valais ont ainsi augmenté d’environ +5,1%, une hausse nettement plus marquée que la moyenne nationale (+3,4% pour les villas, +4,2% pour les PPE) . Ce phénomène s’inscrit dans la continuité d’une tendance haussière entamée depuis quelques années : depuis 2021, les prix des logements en propriété ont bondi de près de 20% en Valais, là où la hausse n’a été “que” de +11% (villas) à +13% (appartements) au niveau suisse. En 2024, la baisse des taux hypothécaires a donné un nouveau coup d’accélérateur – les taux fixes 10 ans sont passés d’environ 2,5% en janvier 2024 à 1,7% en décembre – rendant l’achat plus attractif malgré les prix élevés.

Parallèlement, l’offre de logements reste limitée. La construction de nouveaux logements a ralenti ces dernières années, contribuant à une pénurie relative. Au 4e trimestre 2024, on ne comptait qu’environ 3800 logements disponibles à la location dans tout le Valais, soit une baisse de plus de 40% en cinq ans sur le parc locatif . Le taux de logements vacants a chuté à 1,43% en 2024 en Valais, un niveau inférieur au seuil d’équilibre de 1,5% et proche de la moyenne nationale (1,08%) . En clair, nous sommes passés d’une situation historiquement plus confortable à un marché tendu où la demande excède l’offre. La conséquence : non seulement les prix d’achat montent, mais les loyers eux aussi s’envolent avec +5,3% sur un an et près de +20% sur trois ans pour les loyers valaisans, inversant la tendance baissière observée entre 2016 et 2020.

Evolution des acheteurs : des locaux…. aux nouveaux arrivants

Qui sont les acquéreurs de ces biens toujours plus prisés ? Historiquement, la majorité étaient des Valaisans ou des personnes installées de longue date dans la région. Or, le profil des acheteurs s’est diversifié. Le canton du Valais attire de nombreux nouveaux résidents ces dernières années, ce qui se reflète directement dans l’origine des acheteurs. En 2023, la population valaisanne a crû de +2,4%, bien au-dessus de la moyenne suisse (+1,7%) . Concrètement, cela représente environ 6500 habitants permanents supplémentaires installés en Valais entre le 3ᵉ trimestre 2023 et le 3ᵉ trimestre 2024 (+1,8%) . Cette croissance démographique soutenue alimente fortement la demande de logements. Beaucoup de ces nouveaux arrivants proviennent d’autres cantons – par exemple de l’Arc lémanique (Genève, Vaud) où l’immobilier est moins accessible – mais également de l’étranger dans certains cas. Le résultat est qu’aujourd’hui, lorsqu’un bien est mis en vente en Valais, il suscite l’intérêt d’un public bien plus large qu’il y a 10 ans.

Il n’est plus rare de voir des familles venues de Genève ou de Zurich chercher une résidence principale en Valais, séduites par l’espace et la qualité de vie. De même, des Suisses d’autres régions et des expatriés installés en Suisse s’intéressent à notre canton pour l’acquisition de résidences secondaires. La pandémie de Covid-19 a d’ailleurs provoqué un véritable boom de l’immobilier de vacances en montagne : « En station, les ventes augmentent de manière phénoménale […] les acheteurs sont principalement suisses, mais la sécurité qu’offre notre pays et le grand air attirent aussi des étrangers fortunés » . Les stations phares du Valais (Verbier, Crans-Montana, Zermatt, etc.) ont vu affluer une clientèle extérieure en quête de chalets et d’appartements de vacances. Cette tendance s’étend désormais aux plaines : nombre d’acheteurs prévoient un double usage de leur bien (télétravail en Valais et emploi en ville, par exemple).

Enfin, un autre profil d’acquéreurs s’est renforcé : les investisseurs immobiliers. Avec la hausse des loyers et la pénurie de logements à louer, acheter pour louer est redevenu intéressant en Valais. Les investisseurs locaux et extérieurs y voient une opportunité de rendement dans un marché sûr. Nous observons par exemple des investisseurs alémaniques ou tessinois qui considèrent nos villes valaisannes comme des placements attractifs, profitant de prix d’achat encore modérés et d’un potentiel de plus-value sur le long terme.

Il est important de noter que cette évolution n’est pas sans impact pour la population locale. Face à la compétition accrue des acheteurs externes (souvent dotés d’un pouvoir d’achat supérieur), de nombreux Valaisans peinent à rester dans la course sur certains segments, notamment celui de la villa individuelle. En 2023, moins d’un Valaisan sur trois pouvait encore financièrement s’offrir l’achat d’une villa dans le canton . Cela souligne un enjeu d’accessibilité qui pousse d’ailleurs certains jeunes ménages locaux à se rabattre vers des logements plus petits ou à s’excentrer légèrement pour trouver des prix abordables.

Raisons du changement : télétravail, fiscalité, prix, qualité de vie, mobilité

Plusieurs facteurs convergent pour expliquer pourquoi l’achat immobilier en Valais s’est ouvert à une clientèle bien plus large qu’auparavant. Voici les principales raisons de ce changement :

  • Télétravail et nouvelles habitudes de travail : La généralisation du télétravail depuis 2020 a rebattu les cartes de l’habitat. Il n’est plus indispensable de résider à proximité immédiate des grands centres urbains pour beaucoup d’actifs. Le développement du travail à distance réduit la nécessité d’être physiquement présent au siège de l’entreprise, ce qui renforce l’attrait du Valais pour ceux qui recherchent de l’espace et un cadre de vie plus serein . En profitant de la possibilité de travailler quelques jours par semaine depuis la maison, des cadres et employés de Genève, Lausanne ou même de l’étranger ont pu envisager de vivre en Valais tout en gardant leur emploi ailleurs. Les infrastructures numériques (internet haut débit, espaces de coworking) se sont développées, facilitant ce mode de vie hybride
  • Avantages fiscaux et coût de la vie : Le Valais offre un environnement fiscalement avantageux comparé à d’autres cantons romands. Les impôts sur le revenu y sont généralement plus modérés qu’à Genève ou Vaud, surtout pour les familles et les contribuables moyens. Pour les personnes fortunées établies à l’étranger, le canton propose également le forfait fiscal (imposition sur la dépense) avec un seuil d’entrée relativement accessible (base imposable dès 250’000 CHF pour le canton, par exemple). Ce régime spécial, conjugué à un coût de la vie légèrement inférieur à celui des grands centres, renforce l’attractivité du Valais. En d’autres termes, un ménage gagnant correctement sa vie pourra souvent acheter plus grand ou plus confortable en Valais qu’en zone urbaine, tout en profitant de charges fiscales allégées.
  • Prix immobiliers encore abordables : Malgré les hausses récentes, le Valais affiche des prix au m² inférieurs à ceux des régions voisines plus densément peuplées. Par exemple, sur les trois premiers trimestres 2024, une villa moyenne coûtait environ 1,275 million CHF en Valais, contre 1,438 million à Berne et 1,92 million sur le canton de Vaud . Du côté des appartements, le prix moyen en Valais tournait autour de 5’500 CHF/m² en 2024 , alors qu’il dépasse allègrement les 8’000 CHF/m² à l’échelle nationale (et atteint même plus de 10’000 CHF/m² à Genève). Cette différence de prix est un moteur puissant : de nombreux acheteurs « nouveaux arrivants » se tournent vers le Valais parce qu’ils peuvent devenir propriétaires pour un budget raisonnable, ou acquérir une résidence secondaire à un prix bien moindre qu’en station huppée. Ce rattrapage n’en est qu’à ses débuts, ce qui laisse anticiper un potentiel de valorisation intéressant pour les biens valaisans dans les années à venir.
  • Qualité de vie et attrait du cadre alpin : La qualité de vie en Valais est un atout indéniable. Entre les paysages alpins, l’ensoleillement généreux, l’air pur et la richesse des traditions, le canton offre un cadre de vie exceptionnel qui séduit de plus en plus d’urbains en mal de nature. Depuis la crise sanitaire, cette envie de verdure s’est accentuée : beaucoup aspirent à se rapprocher de la nature et à éviter les étés caniculaires des grandes villes . Le Valais coche toutes les cases avec ses vallées verdoyantes l’été et enneigées l’hiver, ses activités de plein air (ski, randonnée, VTT, etc.) et son ambiance authentique. Par ailleurs, la sécurité et la tranquillité générales du canton rassurent les familles comme les retraités. Pour un citadin stressé, le “changement d’air” valaisan n’a pas de prix et cela motive nombre d’entre eux à franchir le pas de l’achat ici, que ce soit pour une résidence principale ou de villégiature. Notons aussi que les communes de montagne qui attirent les acheteurs de résidences secondaires ont vu la demande exploser, d’autant que les nouvelles constructions y sont limitées par la loi (Lex Weber interdisant d’augmenter la part des résidences secondaires au-delà de 20%). Cette offre restreinte, face à un engouement renouvelé, a alimenté la hausse des prix dans des stations déjà prisées.

Focus sur Martigny et les zones de plaine en Valais

Parlons plus spécifiquement de la plaine valaisanne, qui concentre l’essentiel de la population et de l’activité économique du canton. Si les stations de ski prestigieuses ont de longue date attiré une clientèle extérieure, les villes de plaine comme Martigny, Sion, Monthey ou Sierre étaient autrefois des marchés plus locaux. Ce n’est plus tout à fait le cas : elles sont désormais au coeur de la nouvelle attractivité du Valais.

Martigny, en particulier, illustre parfaitement cette évolution. Deuxième ville du Bas-Valais, Martigny voit ses prix immobiliers grimper sous l’effet de la demande. La ville attire de plus en plus de résidents et d’investisseurs grâce à son riche patrimoine, son économie florissante et sa position géographique avantageuse . Entre 2022 et 2024, le prix moyen des appartements y a augmenté de +6,3%, pour atteindre environ 6’600 CHF/m² en juin 2024 . Cette hausse soutenue s’explique par une offre limitée (Martigny est construite sur une plaine circonscrite) conjuguée à une accessibilité renforcée et à une demande en plein essor. D’ailleurs, le volume de transactions immobilières dans le district de Martigny a augmenté de +3,5% en 2023, signe d’un marché très dynamique .

On observe qu’en 2007, le mètre carré s’y négociait aux alentours de 3’800 CHF, tandis qu’en 2024 il avoisine les 5’800 CHF. La tendance générale est à la hausse, avec une accélération notable après 2016-2017, reflet de l’engouement croissant pour cette localité. Martigny, autrefois perçue comme un marché de proximité, est aujourd’hui clairement tirée vers le haut par des acheteurs venus de l’extérieur du canton.

Pourquoi Martigny plaît autant ? Ses atouts sont nombreux. La ville combine qualité de vie élevée et dynamisme culturel (musées renommés, festivals, gastronomie), tout en restant plus abordable que les centres voisins. Avec des prix autour de 6’000–7’500 CHF/m² dans ses quartiers comme le Bourg ou les Finettes , Martigny offre un rapport qualité-prix imbattable pour une ville aussi bien dotée en services. Surtout, Martigny profite de projets immobiliers neufs en plein essor (nouvelles résidences modernes, écoquartiers en réflexion), de quoi offrir aux nouveaux venus des logements contemporains sans sacrifier le charme local. En somme, Martigny est devenue une alternative crédible à des villes comme Montreux ou Lausanne pour qui cherche un logement principal : on y trouve de la modernité, un tissu économique solide, et la nature à deux pas.

Les autres zones de plaine du Valais connaissent également leurs heures de gloire. Sion, la capitale cantonale, est en pleine expansion avec des projets de densification maîtrisée (par exemple aux quartiers de Vissigen et Gravelone) et des prix moyens de 6’500–8’000 CHF/m² . Cela reste raisonnable comparé au marché romand, ce qui fait de Sion une option attractive pour de jeunes ménages et des investisseurs immobiliers . Monthey, dans le Chablais valaisan, propose quant à elle des prix plus doux (environ 5’500–7’000 CHF/m²) tout en bénéficiant d’un environnement urbain à taille humaine et de la proximité des stations de ski des Portes du Soleil . Cette ville industrielle en mutation attire familles et investisseurs en quête d’un bon compromis entre nature et vie urbaine . Plus à l’est, Sierre et Brig offrent également des opportunités avec des logements moins chers du fait de leur position géographique (Sierre a le prix moyen d’appartement le plus bas du canton, autour de 4’600 CHF/m² ). Ces localités étaient, à l’époque, hors des radars pour les non-Valaisans ; elles sont désormais scrutées par une nouvelle génération d’acquéreurs conscients du potentiel du “Vieux-Pays”.

Notons cependant que la plaine valaisanne reste globalement meilleur marché que les stations d’altitude. Un appartement de 110 m² se négocie autour de 500’000 CHF dans des villages comme Bourg-Saint-Pierre, Isérables ou Saint-Martin, alors qu’il faut compter 1,2 à 1,3 million à Saas-Fee ou Anniviers, et plus de 2 millions dans les stations huppées de Verbier ou Zermatt . Cette différence est importante : elle signifie que les acheteurs cherchant un cadre de vie alpin peuvent encore trouver des opportunités abordables en plaine ou dans des communes moins touristiques, tandis que les gros budgets continueront à cibler les emplacements très prisés. En tant que professionnel local, nous conseillons souvent aux clients dont le budget est serré de considérer les communes périphériques de plaine ou de moyenne altitude. Par exemple, Salvan ou Saxon près de Martigny offrent des appartements autour de 5’300 CHF/m² , bien moins chers qu’au centre-ville, avec en prime un cadre naturel privilégié. Ces zones deviennent idéales pour qui cherche un premier achat ou un investissement à rénover, avec une plus-value potentielle à la clé.

Opportunités à saisir pour les acheteurs et investisseurs

Dans ce contexte d’ouverture du marché valaisan, de belles opportunités se présentent pour différents types d’acheteurs. Que vous recherchiez une résidence principale, une maison de vacances ou un placement locatif, le Valais peut vous offrir un terrain fertile. Voici quelques pistes à envisager :

  • Pour les résidents et nouveaux arrivants en quête d’une résidence principale : C’est le moment de profiter des tarifs encore abordables sur la plaine avant un possible alignement sur les autres cantons. Les jeunes familles et actifs attirés par le Valais y trouveront un cadre de vie sain, des infrastructures modernes (écoles, hôpitaux, transports) et un marché immobilier qui, bien que tendu, reste plus accessible que Genève ou Zurich. Des villes comme Martigny, Sion ou Monthey offrent un bon équilibre emploi/loisirs/prix, avec un potentiel de valorisation future intéressant. À moyen terme, la poursuite attendue de la hausse des prix (+3% à +4% anticipés en 2025 ) signifie qu’acheter aujourd’hui pourrait s’avérer gagnant demain. Pour les Valaisans qui souhaitent changer de logement, cette nouvelle demande extérieure peut aussi être une chance de revendre dans de bonnes conditions et d’éventuellement surclasser leur habitat grâce à la plus-value réalisée.
  • Pour les amateurs de résidences secondaires : Le Valais a toujours été une terre de prédilection pour les résidences de vacances, et ça n’a jamais été aussi vrai. Les amoureux des montagnes, qu’ils soient suisses ou étrangers, ont tout intérêt à explorer les offres existantes. Certes, la construction de résidences secondaires neuves est limitée dans de nombreuses stations (application de la Lex Weber), mais cela rend d’autant plus précieux les biens disponibles sur le marché. Acquérir un chalet ou un appartement de vacances en Valais, c’est s’offrir un havre de paix et un accès privilégié aux domaines skiables et aux randonnées. La demande touristique soutenue assure par ailleurs une valorisation solide de ces biens : les stations réputées voient leurs prix résister aux aléas économiques, et l’attrait international du Valais (événements sportifs, vignobles, patrimoine culturel) ne faiblit pas. Pour un acheteur avisé, il existe encore des secteurs “émergents” à considérer, par exemple des villages authentiques légèrement en retrait des grands centres, où les prix sont inférieurs mais où la qualité du séjour est au rendez-vous.
  • Pour les investisseurs locatifs : Le marché locatif valaisan présente aujourd’hui des fondamentaux très attractifs. La pénurie de logements à louer, combinée à la hausse des loyers (+5,3% sur un an), signifie qu’un investissement immobilier bien placé peut générer un rendement locatif intéressant. Le rapport loyer/prix d’achat en Valais est souvent meilleur que dans les grandes villes suisses, compte tenu des prix d’acquisition plus faibles. Par exemple, un appartement de 3,5 pièces à Monthey ou Sierre s’achète bien moins cher qu’à Lausanne, tandis que le loyer que l’on peut en attendre n’est pas proportionnellement aussi bas, ce qui crée une rentabilité brute appréciable. De plus, avec un taux de vacance tombé à 1,43% , le risque de voir son bien inoccupé a fortement diminué – un changement notable par rapport à 10 ans en arrière où de nombreux logements ne trouvaient pas preneur en Valais. Les investisseurs qui nous consultent le sentent : l’immobilier valaisan est redevenu un placement refuge. Que ce soit pour de la location longue durée (demande élevée de la part des nouveaux habitants) ou de la location saisonnière touristique (très prisée dans les stations été comme hiver), les perspectives de revenus sont au beau fixe. Bien sûr, tout investissement mérite une analyse fine (emplacement, qualité du bien, charges, etc.), mais avec l’accompagnement d’experts locaux et une sélection rigoureuse, le jeu en vaut la chandelle.

En résumé, le “nouveau Valais” immobilier offre des opportunités pour chacun. Les locaux bénéficient d’un marché plus liquide et dynamique s’ils souhaitent vendre ou valoriser leur patrimoine. Les Suisses hors canton y voient un eldorado encore relativement accessible pour devenir propriétaires. Quant aux investisseurs, ils trouvent en Valais un marché à la fois solide (stabilité suisse oblige) et en croissance, donc potentiellement lucratif.

Conclusion

L’achat immobilier en Valais n’est clairement plus réservé aux seuls Valaisans de souche, et c’est une excellente nouvelle pour la vitalité de notre canton. Porté par des tendances de fond comme le télétravail, l’attrait de la nature, des prix compétitifs et un contexte économique favorable, le marché valaisan s’ouvre et se transforme. En tant que professionnel de l’immobilier basé à Martigny, nous sommes témoins au quotidien de cette évolution : de nouveaux visages, de nouveaux accents se mêlent à la clientèle locale, apportant diversité et dynamisme. Le Valais accueille ces nouveaux arrivants à bras ouverts, car ils contribuent au développement de la région tout en s’enrichissant de sa culture.

A bientôt en Valais ou sur le terrain, pour concrétiser ensemble vos projets immobiliers dans ce merveilleux canton.

Sources

  • Valais en chiffres et analyses de marché sélectionnées
  • BCVS-CIV Indicateur immobilier (2024),
  • Wüest Partner/immobilier.ch (2025)
  • Le Nouvelliste
  • Logement en propriété : un marché en pleine expansion.
    https://www.immobilier.ch/fr/actualite-magazines/logements-en-propriete-un-marche-en-pleine-expansion-25612
  • Quelques mots dans le Nouvelliste sur le marché immobilier. Grégoire Crettaz.
    https://fr.linkedin.com/posts/crettaz_quelques-mots-dans-le-nouvelliste-sur-le-activity-7259802357377429504-vHio
  • Indicateur immobilier BCVS-CIV – Edition automne 2024. https://www.bcvs.ch/fileadmin/user_upload/site/publications/indicateur-immobilier/2024/Indicateur_immobilier_BCVS-CIV_-_Edition_automne_2024.pdf
  • Les stations valaisannes connaissent un boom immobilier. https://www.lenouvelliste.ch/valais/valais-central/sierre-district/crans-montana/montana/les-stations-valaisannes-connaissent-un-boom-immobilier-1010850
  • Immobilier: moins d’un Valaisan sur trois peut encore se permettre d’acheter une villa. https://www.lenouvelliste.ch/valais/en-valais-les-prix-de-limmobilier-ont-continue-a-grimper-en-2023-1344268
  • Evolution des prix au m2 de l’immobilier en Valais en 2025. https://www.estimation-bien-immobilier.ch/evolution-prix-m2-immobilier-valais-2023-2024-2025/
  • Où acheter un bien immobilier en Valais en 2024 – Lanimmo.ch. https://lanimmo.ch/ou-acheter-un-bien-immobilier-en-valais-en-2024/
  • Tendances du marché immobilier 2024 à Martigny et région – Schmidt Immobilier. https://www.schmidt-immobilier.ch/details-d-un-article/tendances-du-marche-immobilier-2024-a-martigny-et-region